Besoin d’idées de lecture ? Envie d’un roman ? D’une bande dessinée ? D’une pièce de théâtre ? D’un livre audio ? Découvrez notre petite sélection de titres écrits et/ou dessinés par les auteurs et autrices de la sélection 2022-2023 du Prix littéraire !
Soixante printemps en hiver d’Aimée de Jongh (autrice de la BD Jours de sable)
“Le jour de son 60e anniversaire, Josy refuse de souffler les bougies de son gâteau. Sa valise est prête. Elle a pris une décision : celle de quitter mari et maison pour reconquérir sa liberté en partant avec son vieux van VW ! Sa famille, d’abord sous le choc, n’aura dès lors de cesse de la culpabiliser face à ce choix que tous considèrent égoïste. Josy va heureusement tenir bon, trouvant dans le CVL (« Club des Vilaines Libérées ») des amies au destin analogue et confrontées à la même incompréhension sociétale…” (source : Dupuis éditions)
Un jardin en Australie de Sylvie Tanette (autrice du roman Maritimes)
“Quelque part vers le centre de l’Australie, la cité minière de Salinasburg s’étale en bordure du désert. Tout au bout, une petite maison de bois se cache dans un jardin à l’abandon. Deux femmes se racontent depuis cet endroit que les Aborigènes nommaient « le lieu d’où les morts ne partent pas ».” (source : Grasset)
Tungstène de Marcello Quintanilha (auteur de la BD Écoute, jolie Marcia)
“Salvador de Bahia, Brésil, de nos jours. Les chemins de quatre habitants de la ville vont se croiser au pied du Fort de Notre-Dame de Monte Serrat, à l’occasion d’un fait divers.” (source : éditions çà et là)
Milchzähne d’Helene Bukowski (sélection 2023 pour la traduction française)
Milchzähne est le titre allemand du roman Les Dents de lait, première oeuvre de l’autrice Helene Bukowski. Paru initialement aux éditions Blümenbar, il a été traduit en français en 2021 aux éditions Gallmeister. Germanophones ou lecteurs curieux, n’hésitez pas à feuilleter ou lire l’édition originale !
Alicia, Prima ballerina assoluta de Eileen Hoffer et Mayalen Goust (dessinatrice de la BD Lisa et Mohamed)
“Portrait de l’intrigante danseuse étoile Alicia Alonzo et de Cuba post-révolution où la dictature a fait du ballet national, son meilleur instrument de propagande.” (source : Rue de sèvres)
Alors carcasse de Mariette Navarro (autrice du roman Ultramarins)
“Plusieurs aussi sont là, au beau milieu de leur époque, mais Carcasse particulièrement est au seuil, caresse du pied le seuil et se tient là, avec au visage une impression d’absence qui cloche beaucoup avec le reste.” (source : Cheyne editeur)
Elliot au collège de Théo Grosjean (auteur de la BD Le Spectateur)
“À peine arrivé dans la cour de récréation pour sa première journée de collège, le jeune Elliot, légèrement stressé de nature, voit ses angoisses se matérialiser sous la forme d’une grosse mascotte orange qui se propose de le guider dans les méandres impitoyables de l’adolescence.” (source : Dupuis éditions)
La sérénade d’Ibrahim Santos de Yamen Manaï (auteur du roman Bel abîme)
“Dans la bonne ville de Santa Clara, celle qui produit le meilleur rhum du pays, personne n’est au courant de la révolution que le dictateur Alvaro Benitez a menée il y a une vingtaine d’années. Les habitants vivent et cultivent au gré des sérénades d’Ibrahim Santos, musicien météorologue.” (source : Elyzad éditions)
L’oeil du STO de Nadar et Julien Frey (scénariste de la BD Lisa et Mohamed)
“Paris, 1943. Justin a vingt-deux ans. Il aime Renée et voudrait l’épouser. Mais le gouvernement de Vichy, pour fournir à l’occupant la main-d’œuvre qu’il réclame, crée le STO, le Service du travail obligatoire. Comme des centaines de milliers de jeunes Français, Justin est alors contraint de partir en Allemagne.” (source : Futuropolis)
Panique de Léa Murawiec (autrice de la BD Le Grand vide)
“Du suspens, des lignes qui fuient, un bruit mystérieux qui court le long de la façade. La ville est-elle sous les bombes ? Les personnages, dans leur fuite vers les profondeurs et la sécurité, spéculent sur l’origine de ce bruit.” (source : éditions polystyrène)